lundi 2 août 2010

Les Iles du Salut - départ et Ile St Joseph

Il y a 2 semaines, on est allé visiter les Iles du Salut, là où se trouve l'ancien bagne de Guyane ; et je confirme ce qu'on m'avait dit sur ces fameuses îles: elles sont magnifiques!
L'eau est bleue turquoise (contrairement aux autres plages de Guyane...), le climat est plus doux, and last but not least: il n'y a pas de moustiques!!! Donc c'est un peu le coin paradisiaque de la Guyane! Les bagnards ne savaient pas la chance qu'ils avaient, quel bande d'ingrats! ;-)

On est parti tôt le matin, vers 7h, à bord de la belle Chevrolet Kalos (quelle idée de choisir un nom pareil pour une voiture...) qu'on avait louée. On a un peu stressé au départ, parce qu'on est parti à la bourre! Mais finalement, en poussant la Kalos au bout de ses limites, on a pu arriver à temps pour grimper sur notre catamaran: La Hulotte.

L'embarquement








Vues sur la Mangrove et sur Kourou depuis le catamaran


















A bord, on nous a offert une petite collation: boissons chaudes le matin; le midi et le soir, jus de fruit ou "planteur" (rhum-jus d'orange). Plutôt sympa!
Au programme: l'île Saint Joseph, l'île royale et un p'tit tour autour de l'île du Diable qu'on ne peut pas visiter.

D'abord visite de l'île Saint Joseph, qui est selon moi la plus belle. Arrivée vers 9h30 et départ pour l'île royale à 12h: autant dire que si on veut tout voir, on a pas le temps de traînasser!

La maison des militaires qui sont sur place, plutôt pas mal!

Le cimetière où sont enterrés le personnel pénitentiaire et leurs familles; les corps des bagnards, eux, étaient jetés aux requins qui rappliquaient au son des cloches!















La plage et les cocotiers auxquels il faut faire attention: on est jamais à l'abri d'une chute de noix de coco; et si on a pas de bol et qu'on se la prend sur la tête... ben, on peut y passer! et c'est quand même ballot de mourir comme ça!























L
es ruines des bâtiments du bagne de l'île Saint Joseph. Elles sont interdites aux visites depuis peu, à cause d'un danger d'éboulement. Mais on a fait nos hors-la-loi, on a bravé l'interdiction et ça en valait la peine!



















La nature reprend ses droits sur l'horreur du bagne petit à petit...

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